Tugdual Derville est l’invité de RCF le 25 janvier 2016, pour présenter la onzième édition de l’Université de la vie proposée par Alliance Vita.
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Pour la troisième fois, l’université de la vie est diffusée dans toute la France et dans une demi-douzaine d’autres pays, dans 113 villes en visioconférence. Cette année, le cycle de formation en bioéthique de l’association d’aide et de défense de la vie humaine, porte sur : « Panser la société – Comment agir en faveur d’une culture de vie ? ». Une invitation qui entend répondre aux attentes profondes d’une société en souffrance. C’est ce que nous partage Tugdual Derville, délégué général d’Alliance Vita.
« Alliance Vita et beaucoup d’autres associations sont confrontées à des misères, à des peines sociales, autour de la grossesse, de la fin de vie. Toutes ces souffrances nécessitent un regard, une anthropologie ajustée pour mettre l’homme au cœur de notre société, tel qu’il est, avec ses fragilités, sa vulnérabilité et sa bienheureuse interdépendance, qui permet de construire des réseaux de solidarité » explique Tugdual Derville.
Pour répondre à la question posée à l’occasion de cette onzième édition de l’Université de la vie, Alliance Vita a donné la parole à quatre fondateurs d’œuvres destinées aux personnes fragiles. « Les fondateurs que nous voyons expliquent qu’est-ce-qui leur est arrivé dans leur histoire personnelle pour qu’ils se penchent sur les souffrances de leurs contemporains » ajoute le délégué général d’Alliance Vita.
Pour ce dernier, il est important de « s’informer, avec un grand réalisme. C’est un enjeu personnel à chacun. Il faut éviter les idéologies, les idées toutes faites, les slogans politiques pour regarder la réalité de ce qui se passe. »