Les suppôts de l’individualo-collectivisme libertaire s’acharnent contre la famille car elle est le 1er dépositaire de l’autorité légitime.
Nous croulons sous les normes glacées, une pluie de carottes et de bâtons qui nous déresponsabilise, nous infantilise et tue la solidarité.
Absolument favorable au don d’organes, qui sauve des vies. Mais gare à la tentation totalitaire d’organiser la mort pour se servir du corps.
Forcer le don d’organes annule la générosité. L’État prend le pouvoir sur le corps : dérive totalitaire. La fin ne justifie pas les moyens.
Prélèvement d’organes forcé : le corps social s’approprie celui de ses membres, par le subterfuge culpabilisant d’un registre des égoïstes.