Par le choix de son nom lié au poverello d’Assise, le Pape François a manifesté dès les premiers jours de son pontificat son attention aux plus pauvres et aux plus fragiles. Sur la place Saint Pierre, il a appelé au respect « pour toute créature de Dieu et pour l’environnement dans lequel nous vivons ». Cette approche contraste avec la pensée écologique contemporaine, où le statut même de l’homme est parfois nié au profit de son environnement. Quelle est donc la portée de cette « écologie humaine » ? Comment ce respect de la personne humaine peut-il être pris en compte dans les différentes sphères de la société ? Peut-il s’incarner politiquement dans le contexte français ?
Par le choix de son nom lié au poverello d’Assise, le Pape François a manifesté dès les premiers jours de son pontificat son attention aux plus pauvres et aux plus fragiles. Sur la place Saint Pierre, il a appelé au respect « pour toute créature de Dieu et pour l’environnement dans lequel nous vivons ». Cette approche contraste avec la pensée écologique contemporaine, où le statut même de l’homme est parfois nié au profit de son environnement. Quelle est donc la portée de cette « écologie humaine » ? Comment ce respect de la personne humaine peut-il être pris en compte dans les différentes sphères de la société ? Peut-il s’incarner politiquement dans le contexte français ? Avec notamment : Tugdual Derville, fondateur de « A Bras Ouverts », délégué général d’Alliance Vita ; Gilles Hériard Dubreuil, spécialiste de la gouvernance des risques technologiques, président du Fonds pour la culture démocratique ; Dominique Potier, député PS de Meurthe-et-Moselle. Débat animé par Christian de Cacqueray, journaliste.